A 23 ans, en 1972, Jean-Claude Kella était multimillionnaire en dollars. Installé à New-York, il organisait avec les boss de la mafia italo-américaine l’envoi de l’héroïne marseillaise, via la célèbre « French connection » dont il était l’un des patrons.
En quelques années, le petit voyou de Toulon s’était hissé au sommet de la pyramide criminelle.
Avant que la justice américaine ne le condamne à 20 ans de pénitencier.
C’est cette histoire que Kella raconte. Celle d’un petit cambrioleur devenu grand braqueur, « monté » dans les années soixante à Paris, où il a intégré le Milieu.